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On disait de lui qu’il écrivait comme on se couche, la chair affalée dans des draps fatigués.
La corruption était visible par tous mais si proche que tous regardaient ailleurs, en souriant dans des ectoplasmes de décomposition.
Dans la Salle des ascenseurs les artistes se prenaient pour et étaient contre: toute une vie dans les bras de son ombre.
Il était tellement snob qu’il faisait passer ses attitudes de marquis mal poudré pour une retraite de stylite.