Les coups de couteaux

Chaque jour, chaque nuit, comme une antienne délétère, les couteaux sortent, piquent, plongent, tranchent, dans la culture de la rixe, de l'ergot acéré et de la surdité linguistique.

Ils ne sont que des signes d'un sang trop chaud, encoléré, des pays à canicule; les coups de gueule sont, eux, des signes de retenue avant le coup d'surin et les" statistiques sont formelles", c'est la carotide qui est souvent visée, sans étourdissement préalable et dans le plus grand silence de l'omerta médiatique.

Ca s'appelle des "déséquilibrés inclusifs", de la marmaille avant mitraille, des...je ne sais, je laisse à l'éducation, la culture, le développement personnel, la méditation, la nov langue, les néos, ... le choix du masque.

Dans tous les cas, ça sent le feu.