Je me souviens des dimanches et de l'ORTF, c'était Tchernia qui faisait la messe
Je me souviens de son sourire de satisfaction quand il en bouchait un coin cinéphilique à certains
Je me souviens des fiches de Monsieur cinéma
Je me souviens de rencontres Serrault-Tchenia, c'est comme si l'Auguste et le Clown blanc marmonnaient quelque chose qui ressemblait à un air de liberté qui viendrait plus tard, un bref moment, il y a longtemps
Je me souviens de "A table!" que ma mère lançait pendant qu'on écoutait les émerveillements de Monsieur cinéma, faux pataud et orfèvre des commentaires
Je me souviens du féroce "Viager", seul film qu'il se risqua à faire comme réalisateur. Un bide puis un succès. L'esprit de la France des années 70, celui des Serrault, Carmet, Mocky,...
Je me souviens de Tchernia interviewé et ses lenteurs pensives , ses fusées, ses lumières dans les yeux
Je me souviens de son sourire de satisfaction quand il en bouchait un coin cinéphilique à certains
Je me souviens des fiches de Monsieur cinéma
Je me souviens de rencontres Serrault-Tchenia, c'est comme si l'Auguste et le Clown blanc marmonnaient quelque chose qui ressemblait à un air de liberté qui viendrait plus tard, un bref moment, il y a longtemps
Je me souviens de "A table!" que ma mère lançait pendant qu'on écoutait les émerveillements de Monsieur cinéma, faux pataud et orfèvre des commentaires
Je me souviens du féroce "Viager", seul film qu'il se risqua à faire comme réalisateur. Un bide puis un succès. L'esprit de la France des années 70, celui des Serrault, Carmet, Mocky,...
Je me souviens de Tchernia interviewé et ses lenteurs pensives , ses fusées, ses lumières dans les yeux
Je me souviens que le cinéma existait encore avant sa mort annoncée dans les années 80
Je me souviens que c'était Godard qui l'annonçait, "Aujourd'hui,il ne reste que des films..." et ce n'est pas la même chose du tout
Je me souviens de l'avoir rencontré, le Rond Tchenia qui était la version gentille de Hitch, au Musée du Cinéma au Ravenstein invité de Trinon Hadelin, grand prêtre de nos études et séminaires cinéma qu'il nous donnait le soir en projetant des extraits de films qui tombaient souvent en panne, le film cassait, on entendait le projectionniste fulminer et Trinon faisait comme si de rien n'était et continuait à décrire les images invisibles