Le siècle dernier, il me semblait évident que le comble en matière de littérature était de résister au temps. Aujourd'hui ce serait plutôt de résister à la lecture...
Souvent le climat, le temps qu'il fait, la fatigue de la pluie sans vigueur dans la grisaille attendue et meurtrière donnent l'impression d'un éternel retour de la...componction...d'un corps humide et sans l'éclat du glaive, une sorte de lassante relecture du même et éternel livre ancien, et d'un coup, d'une heure à l'autre des flèches volent dans les airs, on peut fermer le livre et offrir à nouveau son corps sans crainte à la lumière.