Dans ce paysage, l’automne défait les apparences, des chuintements de voitures dans les rues, le sommeil monte lentement en nous, les brumes nous privent d’horizon, les amours se rapprochent pour des raisons glacées, la lumière nous entraîne à mourir...
Lire la suiteDes mères, des mères, des mères...
Le 14 décembre 15h à La Roulotte théâtrale, première projection de ... Mères belles à agitées de Jean-Claude Derudder et Stefan Thibeau A plusieurs années de distance, Stefan Thibeau a filmé, Jean-Claude Derudder et Daniel Simon "parlant" de leurs mères...
Lire la suiteLe chaud et le froid. "Rebellion Park" de K.Görgün
Ma seule ligne politique c'est la ligne de chemin de fer. Citations de Albert Londres Read more at http://www.dicocitations.com/auteur/2755/Albert_Londres.php#xvm5yDQMSCDqgXZi.99 Ma seule ligne politique c'est la ligne de chemin de fer. Citations de Albert...
Lire la suiteC'est de l'amusement!
Le vent passe et revient, parfois il repart sans se faire remarquer. Souvent, dans ma rue, il chasse les feuilles morts empilées le jour, distribue ses sacs plastiques à la va-vite et retourne d'où il est venu. C'est le jeu du vent et de l'ordre impossible....
Lire la suiteChez mon dentiste
J'ai raté un rendez-vous chez mon dentiste. Sûr de moi, j'arrive deux heures en retard. J'avais mal noté. Mon dentiste est un homme charmant et sa collaboratrice tout autant. Ils voient mon embarras, ils entendent mes excuses, ils sourient à mes parades...
Lire la suiteL'homme qui tombe
Dans cette relation d'étrangeté que beaucoup vivent avec le réel, je me sens souvent ridicule, à côté, en deçà. C'est peut-être la raison pour laquelle le terme "rebondir" me va si mal...J'ai une aversion pour cette sémantique de la réparation immédiate,...
Lire la suiteVous êtes ici !
J'ai une faculté à me perdre en chemin qui rend mes déplacements souvent plus complexes que je n'ose l'avouer. Cette façon de ne pas s'y retrouver dans le paysage me le rend toujours étranger. Avant chaque départ, le plus banal qui soit, je m'inquiète...
Lire la suiteCette ombre en traîne de pétales où je marche.
Pétales de cerisiers du Japon, matin d'avril Schaerbeek Cette ombre en traîne de pétales où je marche, le vent, la rue, le furtif chagrin de chacun dans un silence rosé. Des voitures emportent des essaims de fleurs qui montent le long des murs où de petits...
Lire la suiteJe lis donc...
Hier, je retrouve dans ma bibliothèque un livre acheté, jamais coupé, jamais lu, une perle. Karl Kraus et Franz Wedekind. Deux auteurs de langue allemande à la pointe du combat pour la liberté politique, sexuelle,...Dans les luttes de classes du temps,...
Lire la suiteLettre au Grand Saint...
La nuit était tombée. Petit, je vivais à la campagne dans une maison perdue au milieu des champs, dans le noir des nuits étoilées. Je vous attendais avec une inquiète impatience. Nous vous attendions tous. Vous aviez quelque chose pour chacun. Nous n’étions...
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