La littérature tient toujours à un fil.
Lorsqu'elle se pavane, emmène le lecteur dans des salles de maquillage trop éclairées, elle disparaît à l'instant derrière le paravent des conformités usées où on l'entend se féliciter.
Cela tient à un fil disais-je, elle mollit alors et se révèle grassement, du beurre un peu fade.