Ce qui bouge encore peut-être, ce sont les arbres intérieurs, les champs hachés de pluie, le soleil sur ses hanches, le jour qui s’étire jusqu’aux terrasses, des choses vite perdues et qui comptaient tellement, ce qui bouge encore dans la photo d’hier, je le cherche dans les images d’aujourd’hui mais ça se fige lentement, ça prend forme, ça s’arrête pour qu’on voie mieux ce qui n’est plus déjà et qui remplit le livre à venir.