Quand on pense à tous ces visages sous le masque qui nous auront échappé, on se dit que décidément l'homme est peu de chose, quelques livres de chair, des habitudes sommaires, des frustrations communes et un grand désir de je ne sais quoi qui a fondu au fil des décennies, restent les borborygmes d'indignation, les évidences basses et un chagrin ténu d'avoir perdu un temps le chemin de la vallée.