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Peut-être manquaient-ils des bons nutriments de saison mais une étrange maladie frappait toujours au même endroit du cerveau, du cortex, du langage ou de je ne sais quelle constriction secrète mais les symptômes étaient patents...
La confusion à travers leurs outrages langagiers, leurs mots extrêmes, avec les périodes de glaciation des âmes et des corps, et cette certitude, grâce à cette logorrhée grotesque, de vivre en héros sacrifiés du temps, d'attendre impatiemment le moment du moment ultime au nom de ces palabres assoiffées d'exploits imaginaires faisaient de leurs pantalonnades des Tartarin de banlieue.
Ils étaient dangereux pour l'esprit, stupides du point de vue de la raison et ineptes du.point de vue de l'histoire.
C'étaient des clowns qui se voulaient shakespeariens et qui radotaient des vérités d'abrutis.